Déjà ministre de l'environnement par le passé
C’est fait : Luiz Inacio Lula da Silva vient d’être investi au Brésil pour un troisième mandat présidentiel. L’occasion, peut-être de ralentir voire stopper la déforestation en Amazonie, qui aura atteint des niveaux inégalés ces dernières années.
Justement, la nomination de la militante écologiste Marina Silva comme ministre de l’environnement au sein du nouveau gouvernement de Lula est un signal fort en matière de défense du patrimoine naturel du Brésil. Marina Silva a déjà occupé ce poste jadis, de 2003 à 2008, et son action avait alors porté ses fruits.
Justement, la nomination de la militante écologiste Marina Silva comme ministre de l’environnement au sein du nouveau gouvernement de Lula est un signal fort en matière de défense du patrimoine naturel du Brésil. Marina Silva a déjà occupé ce poste jadis, de 2003 à 2008, et son action avait alors porté ses fruits.
Triple candidate à la présidentielle
Elle avait alors pris une série de mesures fermes qui avait permis de faire chuter de 80% le déboisement de la forêt amazonienne durant près d’une décennie. Mais elle avait fini par quitter ses fonctions du fait de désaccords sur la préservation de l’environnement.
Celle qui fut également trois fois candidate à la présidence du pays va ainsi pouvoir reprendre son action, plus efficacement qu’en se présentant elle-même : face à Jair Bolsonaro en 2018, elle n’avait obtenu que 1% des voix. Signe que la prise de conscience environnementale reste encore un combat à mener au Brésil.
Celle qui fut également trois fois candidate à la présidence du pays va ainsi pouvoir reprendre son action, plus efficacement qu’en se présentant elle-même : face à Jair Bolsonaro en 2018, elle n’avait obtenu que 1% des voix. Signe que la prise de conscience environnementale reste encore un combat à mener au Brésil.